La fin des temps

1979 : Le Vatican est en plein émoi : une comète passe au dessus de la lune et selon les saintes écritures, c'est le signe d'un futur chaos.
Une fillette doit naître et celle ci sera la future mère de la progéniture de Satan. Ce futur démon ouvrira ainsi les portes de l'Enfer
20 ans plus tard, le diable est de sortie : il vient prendre son bien mais pour cela, il doit entrer dans la peau d'un personnage. De fait, il choisit le corps un grand banquier réputé sur la place de New York.
Afin de respecter le standing du personnage dont il a pris l'apparence, Satan décide de se doter de gardes du corps.
L'un d'eux , Jericho Cane, meurtri par le décès de sa femme et de sa petite fille, est loin de se douter du rôle s'il va jouer dans cette histoire de fin du monde..

Explosions et armes en tout genre font parti du Quotidien d'Arnold Schwarzenneger.
Dans "La fin des temps", le père Noël l'a vraiment gâté ; De la mini bombe explosive à l'épée pure et dure, Arnold s'en donne à coeur joie pour faire ce qu'il aime le plus : Sauver le monde!
Le seul problème c'est que cette fois ci, ses ennemis ne sont pas fait que de chair et de sang. Arnold doit se battre contre Satan himself et ma foi (c'est le cas de le dire), il ne s'en sort pas trop mal.

Schwarzy reste donc fidèle à lui même jusque dans le jeu mais n'en fait pas trop. La vraie surprise de ce film est l'interprétation infernale de Gabriel Byrne
Celui ci nous campe en effet un Diable Génial. Et même si on soupçonne que ce n'est pas sa vraie tête que l'on voit dans le duel final, il n'en reste que son interprétation est de loin la meilleure du film.

Ajoutez à ces interprétations une bonne dose d'humour, d'érotisme et vous aurez comme mélange le blockbuster le plus détonnant de cette fin d'année.

Pour les fins limiers qui traquent les petites erreurs de mise en scène : observez bien la montre de Schwarzy à la fin du film : elle indique 10h15 alors qu'on vient de nous signaler qu'il était minuit moins 10 minutes...